7 principes intemporels pour ne plus subir mais choisir votre vie
De Jean-Charles Kurdali
Ce livre a été écrit pour ceux qui refusent de passer à côté de leur vie. Pour ceux qui ne veulent plus subir mais choisir leur vie.
Nous vivons une période de paix, de prospérité et d’opportunités comme jamais auparavant. Et pourtant, nous prenons nos décisions en fonction des autres, nous gâchons des années de nos vies à scroller sur nos téléphones, nous répétons les mêmes schémas destructeurs, nous avons du mal à trouver du sens à notre vie.
Dans ce livre, Jean-Charles Kurdali propose un antidote aux problèmes et dérives de notre époque à travers une philosophie pratique, celle de la vie intentionnelle :
○ Découvrez comment questionner les schémas préconçus pour briser les chaînes invisibles qui limitent votre potentiel.
○Embarquez pour un voyage d’introspection pour mieux vous connaître et changer radicalement la trajectoire de votre vie.
○Définissez votre propre chemin : vivez selon vos termes sans être influencé par les opinions et attentes des autres.
○Retrouvez le contrôle de votre concentration, résistez aux distractions omniprésentes, et recentrez-vous sur vos objectifs pour une productivité maximale et une vie moins stressante.
Auteur : Jean-Charles Kurdali
Nombre de pages : 224
Année de parution : 2023
Éditeur : EYROLLES
Sur le paradoxe entre le fait que nous vivons une époque qui plébiscite davantage le consumérisme plutôt que la spiritualité, mais qui est en même temps la meilleur époque pour mener une vie qui nous correspond :
« Le philosophe Platon (427-347 avant J.-C.) l’expliquait avec son concept du Pharmakon. Le pharmakon signifie que toute technique (ou technologie) est à la fois remède et poison. Le feu peut servir à nous réchauffer ou à brûler une maison. » (page 14)
« Même les jours où le réveil est plus compliqué, il pense à Marc Aurèle (121 – 180 après J.-C.) : » Je me lève pour faire mon œuvre d’homme ; je vais remplir les devoirs pour lesquels je suis né et j’ai été envoyé en ce monde. » » (page 27)
Citation du livre Pensées pour moi-même de Marc Aurèle
« Il ne vit pas selon les autres. Il vit pour sa famille, sa communauté et il s’efforce de conduire une existence qui vaut la peine d’être vécue. » (page 27)
« Celle d’un homme qui a décidé un jour de s’éloigner de la vie médiocre (cf. La vie par défaut), celle que Henry David Thoreau appelait le « désespoir silencieux des hommes » » (page 27)
Citation du livre Walden ou la vie dans les bois de Henry David Thoreau
« Une vie sans examen ne mérite pas d’être vécue. » (page 28)
Citation du livre Apologie de Socrate de Platon
« Il décida de prendre l’entière responsabilité de son existence. Car certes, tout n’est pas de sa faute. Mais tout est de sa responsabilité, à commencer par ses pensées et ses actions. »(page 28)
« Accepter la vie dans son entièreté sans tomber dans la fatalité d’une existence déjà jouée amenant à la passivité. » (page 29)
« Achille a compris que si l’homme était condamné à être libre d’après Sartre, cette liberté pouvait devenir un enfer pour celui qui ne sait pas quoi en faire. » (page 31)
« Vous allez arrêter de vivre selon les autres. Vos interactions sociales ne seront plus gouvernées par la peur de ne pas être assez ou de perdre quelqu’un mais par l’amour. » (page 39)
« Vous pouvez distinguer la philosophie en deux branches :
(page 41)
« En effet, celui qui ne sait ralentir sa vie et interroger ses pensées et actions ne sera pas en mesure de mener une vie intentionnelle. » (page 50)
« Il (Socrate) a passé son existence à tenter de convaincre les jeunes citoyens athéniens d’apprendre à se connaître (« Connais-toi toi-même »), de questionner leurs croyances, de s’arrêter sur un banc pour dialoguer, pour se comprendre soi-même ainsi que le monde qui les entoure. » (page 50)
« Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne pas savoir demeurer en repos dans une chambre. » (page 52)
Citation du livre Pensées de Blaise Pascal
« Bien souvent, se conformer aux attentes des autres nous pousse à renoncer à nos inspirations, nos rêves, notre potentiel et notre bonheur. » (page 52)
« D’ailleurs, je ne suis pas contre un peu de confort dans la vie. Par contre, avoir trop de confort est une insulte à la vie. Le confort, c’est la mort. Il nous rend apathique, mous, peu motivés. Il détruit notre désir de conquête, de progression, d’élévation personnelle et collective. » (page 56)
« Le confort est un obstacle à la connaissance de soi et au bonheur. » (page 56)
« Dans son ouvrage La République, Platon met en scène Socrate qui explique que les gens sont souvent trop attachés aux plaisirs matériels pour réfléchir à leur propre vie et à leur propre connaissance. Il soutient que les gens doivent découvrir leur propre sagesse intérieure et trouver le véritable bonheur. » (page 56)
« Le mot « crise » peut être connoté négativement, mais son étymologie nous montre que ce n’est pas le cas. En grec, krisis prend quatre sens principaux : celui de distinguer, de choisir, de séparer et de décider. La crise est un carrefour de vie. » (page 58)
« Une vie sans mouvement est une vie stérile, une vie de stagnation. Une vie sans réflexion est une vie subie, vécue par défaut. » (page 61)
« Philosopher, c’est penser votre vie et vivre votre pensée. » (page 52)
Citation du philosophe André Comte-Sponville
« Vous allez devoir assumer de vouloir vivre une vie différente de la majorité d’une population qui s’est mise en autopilote […] Vous allez devoir accepter d’être incompris et rejeté par certaines personnes, parfois même des proches, tout au long de votre chemin de vie intentionnelle. » (page 63)
« Ce qui dépend de nous est tout ce qui concerne notre vie intérieure :
(page 67)
« Alors que ce ne dépend pas de nous correspond au reste, comme :
(page 67)
« Notre malheur est de passer plus de temps à nous préoccuper et à nous inquiété de choses qui ne dépendent pas (entièrement) de nous et de perdre de vue ce qui en dépend. » (page 67)
« Pour Épictète et les stoïciens, pour atteindre ce qu’ils appellent l’eudaimonia (sentiment de bonheur diffus et interne), il « suffisait » de lier ses actions et ses pensées aux vertus dites « cardinales » (le courage, la sagesse, la tempérance et la justice). » (page 68)
« La manière dont vous analysez les évènements va avoir un impact direct sur vos émotions puis sur vos comportements et pensées. C’est ce qu’avait compris Épictète en incitant ses disciple à considérer les évènement comme neutres. Un évènement n’est bon ou mauvais que selon ce que vous allez en faire. » (page 70)
« Selon le psychologue canadien Jordan Peterson, la dépression non clinique intervient quand vous vous sentez bloqué dans votre vie; Quand vous semblez vous éloigner de la personne que vous pourriez devenir, mais vous vous sentez incapable de vous en approcher. » (page 71)
« (à propos de la boucle rétroactive de la dépression) Cette boucle est provoquée par les interactions entre le corps, le cerveau et la société. Un évènement négatif se produit. Votre cerveau vous dit que vous êtes un raté. Ce qui a pour effet de vous isoler socialement. Votre corps et votre psyché valident l’information et la dépression s’amplifie. » (page 71)
« Ce qui trouve les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu’ils portent sur les choses. » (page 71)
Citation du livre Manuel d’Épictète
« Épicure (341 – 270 avant J.-C.) nous invite à classifier les désirs en trois catégories :
(page 72)
« Le désir est un contrat que vous passez avec vous-même pour être malheureux jusqu’à ce que vous obteniez ce que vous voulez. » (page 73)
Citation de Naval Ravikant
« Il (Achille) sait que ses expériences passées ont façonné la personne qu’il est devenu, mais il ne se laisse pas définir par elles. Il n’est pas prisonnier de ses erreurs, car il apprend à les accepter et à en tirer des leçons. » (page 74)
« C’est une philosophie (le stoïcisme) qui responsabilise en partant du principe que nous sommes maîtres de notre bonheur ou malheur dans un monde qui a tendance à pointer du doigt un « méchant » qui serait source de nos maux. » (page 76)
«
L’acceptation de son état présent ne doit pas être un prétexte de fuite en avant. Il doit donner la force à celui qui accepte sa situation présente, de la refuser comme étant inéluctable dans le futur. »
(page 85)
« Il est en partie de notre ressort de vivre d’une manière à être en bonne santé mentale et physique. » (page 85)
« Stéphane cherche LA bonne carrière, LE bon projet, LA bonne partenaire. Tout en vivant dans une société de l’hyperabondance perçue. Il souffre de ce qu’on appelle le FOMO. » (page 87)
« Chaque décennie, nous perdons un peu plus notre capacité d’attention. Nous faisons la richesse d’entreprise comme Koober ou Blinkist, qui vendent des résumés de livres. » (page 91)
« Le lecture devient un acte de résistance à l’ère des vidéos regardées en x2 sur Youtube. » (page 91)
« De plus, la « mort de Dieu » a privé les Occidentaux du sens de la vie que garantissait la religion. Nietzsche invite l’Homme à remplacer les valeurs chrétiennes par des valeurs choisies par lui-même, ce qui lui permettrait de devenir un surhomme. Or, peu d’entre nous ont le courage ainsi que la capacité mentale et physique de procéder à cette réévaluation de nos valeurs. » (page 93)
« À défaut de trouver notre sens, nous consommons. » (page 97)
« L’excellence est un art que l’on atteint que par l’exercice constant. Nous sommes ce que nous faisons de manière répétée. L’excellence n’est donc pas une action mais une habitude. » (page 99)
Citation d’Aristote.
« De plus, il faut garder en tête l’importance de privilégier le voyage à la destination. L’atteinte de nos objectifs n’est pas ce qui nous rendra heureux sur la durée. […] Ce qu’ils ont appelé l’adaptation hédonique. L’étude montre que l’on finit toujours par revenir à notre état de bonheur initial (après un évènement important). » (page 101)
À la question de trouver LE bon chemin :
« Alors que la réalité est plus chaotique et hasardeuse. Il y a une multitude de chemins que l’on peut emprunter. » (page 103)
« J’ai un concept que j’appelle la « journée minimum viable » (JMV). Elle correspond aux trois à cinq activités que vous avez envie et besoin de faire chaque jour pour considérer avoir vécu une bonne journée. » (page 104)
« Pour Mark Manson, une bonne vie n’est pas une vie sans problème, mais une vie où l’on a de bons problèmes. » (page 105)
« De plus en plus d’adultes restent bloqués dans l’adulescence : adultes aux yeux de la loi, irresponsables dans les faits. Ils flottent, en attente, dans un nihilisme qui les conduit à la médiocrité. » (page 110)
« (La victimisation) C’est l’art de chercher l’attention des autres en mettant en avant des éléments injustes de nos parcours. » (page 112)
Ce que Bret Easton Ellis appelle l’économie de la réputation :
« dramatiser son expérience de vie pour générer des vues sur les réseaux sociaux et développer sa marque. […] (ces méthodes) à défaut d’être vertueuses ou inspirantes, elles font cliquer. » (page 113)
« On se retrouve donc avec des millions de jeunes […] confortés dans l’idée qu’il est intolérable de laisser quelqu’un ayant un avis différent du leur avoir la possibilité de s’exprimer. » (page 115)
« L’antifragilité est au-delà de la résilience et de la robustesse. Le résilient résiste aux chocs et reste le même ; l’antifragile s’améliore. » (page 199)
Citation du livre Antifragile de Nassim Nicholas Taleb
« Être le responsable de son existence, c’est se retrouver régulièrement dans des situations que l’on aurait évitées avant parce que se responsabiliser, c’est s’exposer. » (page 120)
« Pour le philosophe (Épictète), nous sommes absolument responsables de notre malheur, de notre bonheur et de notre caractère moral. » (page 122)
Citation du livre Manuel d’Épictète
« Rendez-vous compte, l’homme le plus puissant du monde (cf. Marc Aurèle) passe ses soirées à écrire pour examiner ses pensées et ses comportements. » (page 132)
« Bâtir une citadelle intérieur vous permettra :
« Quand l’âme se fait dévorer, quand l’esprit s’appauvrit, il ne reste que la matière ou le monde sensible, dirait Platon. » (page 134)
« La compétition est rude. Chacun se compare avec les autres. Chacun compare autrui avec le reste du monde. » (page 136)
« Nous avons donc des rapports sexuels qui ne sont pas basés sur des désirs partant de nous-mêmes, mais sur une projection du virtuel dans le réel. » (page 136)
« Notre génération est accroc à la dopamine bon marché. » (page 137)
« Cette philosophie (cf. le minimalisme digital) est basée sur trois principes cardinaux :
« On se retrouve avec un triangle d’or constituant les domaines fondamentaux d’une vie : l’amour comprend notre relations aux autres et à soi-même ; le travail comprend notre carrière, nos responsabilités , notre vocation ; enfin, l’énergie comprend notre santé mentale, physique et spirituelle. » (page 152)
« En psychologie, ce terme (blank slate) fait référence à la croyance selon laquelle tous les humains naissent avec la capacité de devenir littéralement n’importe quoi ou n’importe qui. » (page 155)
« Selon l’auteur (Steven Pinker), cette négation de la nature humaine serait une façon de combattre une peur : celle de l’inégalité parmi les hommes. » (page 156)
« Le paradoxe de cette population est d’être hyper moderne dans sa manière de vivre, attirée par tout ce que la technologie et le capitalisme consumériste lui proposent. Et à la fois d’être coincée dans un paradigme d’un autre temps dès lors qu’il s’agit de penser ou d’agir sur leur carrière et leur développement personnel. » (page 156)
« Les moldus modernes savent utiliser Internet pour regarder du porno, poster des selfies sur Instagram, pour scroller et consommer du contenu divertissant toute la journée. Mais ils ne savent pas l’utiliser pour construire des actifs digitaux, pour chercher et apprendre les compétences les plus valorisées ( tels que copywriting, le code, la production de contenu). » (page 156)
« Internet vous permet de créer votre propre marché et d’échapper à la compétition – ou concurrence. » (page 158)
« L’effet Lindy est une théorie selon laquelle l’espérance de vie future d’une chose non périssable, telle qu’une technologie ou une idée, est proportionnelle à son âge actuel. Plus une chose à survécu longtemps, plus la probabilité qu’elle continue à survivre augmente. » (page 159)
« Les modèles mentaux nous permettent de comprendre le monde. Ils sont la façon dont nous simplifions la complexité, la raison pour laquelle nous considérons certaines choses plus pertinentes que d’autres, et la façon dont nous raisonnons. » (page 159)
Citation de Shane Parrish sur son blog
« Nous ne prenons pas le temps de construire des fondations solides et intemporelles pour appuyer notre pensée. » (page 160)
« Si vous n’avez jamais pensée ou écrit une sorte de manifeste, vous êtes certainement en train de vivre selon le manifeste d’un autre. » (page 166)
À propos de Ivan Ilitch, personnage du roman de Tolstoï (La mort d’Ivan Ilitch – 1886) :
« Il fut un soliste qui s’est plus employé à vivre selon autrui – ou cherchant à utiliser les autres – plutôt qu’à créer du lien avec eux. » (page 172)
« La philosophie d’Épicure avait pour finalité l’ataraxie, que l’on peut traduire par l’absence de trouble et un état de paix intérieur. » (page 172)
« Ainsi celui de tous les maux qui nous donne le plus d’horreur, la mort, n’est rien pour nous, puisque, tant que nous existons nous-mêmes, la mort n’est pas, et que, quand la mort existe, nous ne sommes plus. Donc la mort n’existe ni pour les vivants ni pour les morts, puisqu’elle n’a rien à faire avec les premiers, et que les seconds ne sont plus. » (page 173)
Citation du livre Lettre à Mécénée d’Épicure
« J’ai essayé de vivre ma vie de sorte qu’au jour de ma mort, je ressente de la joie plutôt que de la peur. » (page 173)
Citation de Witold Pilecki
« La mort n’est pas un problème à résoudre. C’est un cycle naturel de la vie. Nous sommes des petites particules, des chaînons faisant partie d’un grand tout aussi bien à l’échelle de l’espace que du temps. Il faut savoir laisser la place aux suivants, en leur léguant un savoir sur lequel ils vont pouvoir continuer à faire avancer la conscience humaine. » (page 175-176)
« La liberté est le pouvoir de choisir nos propres chaînes. » (page 177)
Citation de Jean-Jacques Rousseau
« Le tribalisme est une régression de la conscience si l’on se base sur la spirale dynamique de la conscience du Ken Wilber. C’est la croyance selon laquelle nous-sommes-dans-le-vrai-et-nous-avons-compris-quelque-chose-que-les-mechants-du-camp-du-mal-ne-comprennent-pas. » (page 180)
« Les idéologies sont de simples idées déguisées en vérités scientifiques ou philosophiques qui prétendent expliquer la complexité du monde et proposer des remèdes pour l’améliorer. » (page 180)
Citation du livre 12 règles pour une vie de Jordan B. Peterson
« La conséquence de ce schéma tribal est l’isolement identitaire. On commence à polariser son identité et à la réduire à une idéologie. […] il est plus confortable de chercher le problème à l’extérieur qu’à l’intérieur de soi-même. » (page 180-181)
« Pour l’explorateur (Mike Horn), il y a ceux qui vivent de manière à vivre longtemps, en limitant les risques et préférant le confort, et ceux qui décident de vivre avec intensité en prenant le risque de voir leur vie être écourtée. » (page 182)
« Achille a réalisé sa vie que la peur de la mort est souvent liée aux regrets de ne pas avoir vécu comme on aurait dû. » (page 182)
Pour David Perell :
« Objectif pour vos 20 ans : trouvez votre Club des 10. Votre club des 10 est un groupe de 10 personnes avec lesquelles vous souhaitez travailler plus tard dans votre vie. elles doivent être gentilles, ambitieuses et généreuses. Voyagez ensemble, rencontrez les familles et assistez à leurs mariages. » (page 187)
« Ce qui compte n’est pas de vouloir absolument faire de grands projets ou de changer le monde. C’est d’avoir un impact positif, de trouver dans quel domaine vous souhaitez évoluer. » (page 189)
« Elle (la journée minimum viable) correspond aux trois à cinq activités que vous allez faire chaque jour pour pouvoir vous dire avant de vous coucher : « Aujourd’hui, j’ai passé une bonne journée« , « J’ai aimé cette journée« , « J’ai bien utilisé mon temps« . » (page 204)
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